Produitbio.com

Un site du Réseau
Renouvelable.com

Pourquoi choisir une protéine en poudre sans additifs et sans éduclorants ?

Choisir une protéine en poudre sans additifs ni édulcorants est essentiel pour maximiser les bienfaits de la supplémentation et préserver la santé.

Les recherches montrent que les additifs, tels que les émulsifiants et les édulcorants artificiels, peuvent avoir des effets négatifs à long terme, notamment des risques de cancers, de maladies cardiovasculaires et de troubles digestifs.

Une protéine sans ces substances controversées offre une meilleure digestion et assimilation des nutriments, tout en garantissant un profil nutritionnel pur et optimisé.

Cet article s'appuie sur les recherches scientifiques fournies dans les résultats de recherche, notamment celles mettant en évidence les risques potentiels des additifs émulsifiants, des édulcorants artificiels et leur impact sur la santé à long terme.

Il vise à guider nos lecteurs vers un choix éclairé de protéines en poudre sans ces substances controversées, afin de profiter des bénéfices d'une composition naturelle et transparente. Si vous êtes ici pour trouver un produit de qualité qui préserve votre santé tout en maximisant les fruits de votre entraînement, d'près notre recherche d'une marque qui respecte ces critères de qualité drastique Protéalpes est la seule marque française que nous recommandons.

Les additifs alimentaires : des substances controversées

Définition et rôle des additifs dans les protéines en poudre

Les additifs alimentaires sont des substances ajoutées intentionnellement aux denrées alimentaires pour remplir certaines fonctions technologiques, notamment pour modifier les propriétés sensorielles ou pour améliorer la durée de conservation. Dans le cas des protéines en poudre, les additifs sont utilisés pour diverses raisons, telles que l'amélioration de la texture, de l'apparence et du goût du produit final.

Parmi les additifs couramment utilisés dans les protéines en poudre, on retrouve les émulsifiants, qui permettent d'obtenir une meilleure mixité entre les différents ingrédients et d'éviter la formation de grumeaux.

Les édulcorants, quant à eux, sont ajoutés pour conférer une saveur sucrée sans apporter de calories supplémentaires.

Enfin, certains colorants et conservateurs peuvent également être employés pour rendre le produit plus attrayant visuellement et pour prolonger sa durée de vie.

Bien que ces additifs soient approuvés par les autorités compétentes et considérés comme sûrs aux doses recommandées, leur utilisation fait l'objet de controverses.

En effet, de plus en plus d'études scientifiques mettent en évidence des effets potentiellement néfastes sur la santé, notamment lorsque ces substances sont consommées en grandes quantités et sur le long terme.

Voyons à présent les principaux additifs utilisés et leurs effets potentiels sur la santé :

protéine en poudre

Émulsifiants et risques de cancers et de diabète de type 2

Les émulsifiants sont des additifs largement utilisés dans l'industrie agroalimentaire pour améliorer la texture et la stabilité des produits.

Dans les protéines en poudre, ils permettent d'obtenir une consistance homogène et d'éviter la séparation des phases. Cependant, des études récentes ont mis en évidence des liens potentiels entre la consommation d'émulsifiants et certains problèmes de santé.

Une étude publiée dans la revue Nature en 2015 a montré que deux émulsifiants couramment utilisés, le polysorbate 80 et la carboxyméthylcellulose, pouvaient altérer la composition du microbiote intestinal chez des souris, entraînant une inflammation chronique et une augmentation du risque de cancer du côlon.

Les chercheurs ont suggéré que ces émulsifiants pourraient avoir des effets similaires chez l'homme, bien que des études supplémentaires soient nécessaires pour confirmer cette hypothèse.

Par ailleurs, une autre étude parue dans le British Medical Journal en 2023 a révélé une association entre la consommation de certains émulsifiants (E460 à E468) et un risque accru de maladies cardiovasculaires.

Les chercheurs ont suivi près de 100 000 adultes français pendant sept ans et ont constaté que des apports plus élevés en ces additifs étaient liés à une incidence plus importante de maladies coronariennes et d'accidents vasculaires cérébraux.

Enfin, des travaux menés sur des modèles animaux ont suggéré que les émulsifiants pourraient également jouer un rôle dans le développement du diabète de type 2, en perturbant le microbiote intestinal et en induisant une résistance à l'insuline.

Bien que ces résultats doivent être confirmés chez l'homme, ils soulèvent des questions quant à l'innocuité de ces additifs à long terme.

Colorants et conservateurs : allergies et troubles digestifs

Les colorants et les conservateurs sont d'autres additifs fréquemment employés dans les protéines en poudre, notamment pour améliorer l'aspect visuel et prolonger la durée de conservation des produits.

Cependant, ces substances ont également été associées à certains effets indésirables sur la santé.Plusieurs études ont mis en évidence un lien entre la consommation de certains colorants artificiels, tels que le jaune orangé S (E110) et le rouge Allura AC (E129), et l'apparition de réactions allergiques chez les personnes sensibles.

Ces colorants peuvent notamment provoquer des symptômes cutanés (urticaire, eczéma), respiratoires (asthme) et digestifs (douleurs abdominales, diarrhées).

De plus, une étude publiée dans le Lancet en 2007 a suggéré que certains colorants artificiels, en association avec le conservateur benzoate de sodium, pouvaient avoir un impact négatif sur le comportement des enfants, en augmentant l'hyperactivité et les troubles de l'attention.

Suite à ces résultats, l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a recommandé de limiter l'utilisation de ces additifs dans les produits destinés aux enfants.

Enfin, certains conservateurs, comme les nitrites et les nitrates (E249 à E252), ont été associés à un risque accru de cancer colorectal. Ces additifs, couramment utilisés dans les charcuteries pour prévenir le développement de bactéries pathogènes, peuvent en effet donner naissance à des composés cancérigènes appelés nitrosamines lors de la cuisson à haute température ou dans l'estomac en présence d'amines.

En conclusion, bien que les additifs alimentaires soient considérés comme sûrs par les autorités sanitaires aux doses autorisées, de plus en plus d'études scientifiques mettent en évidence des effets potentiellement néfastes sur la santé, en particulier lorsque ces substances sont consommées en grandes quantités et sur le long terme.

Dans le cas des protéines en poudre, la présence d'émulsifiants, de colorants et de conservateurs soulève des questions quant à l'innocuité de ces produits, notamment chez les personnes sensibles ou ayant une consommation élevée.

Il est donc important de privilégier des protéines en poudre de haute qualité, avec une liste d'ingrédients courte et transparente, et de limiter la consommation de produits ultra-transformés contenant de nombreux additifs.

En parallèle, il est essentiel de continuer à mener des recherches approfondies sur les effets à long terme de ces substances sur la santé humaine, afin de mieux encadrer leur utilisation et de protéger les consommateurs.

🧩 Additif Rôle Effets potentiels sur la santé
🧈 Émulsifiants Améliorer texture et stabilité Risque de cancer du côlon, maladies cardiovasculaires, diabète de type 2
🍬 Édulcorants Saveur sucrée sans calories Potentiellement sûrs, mais controversés
🌈 Colorants Améliorer aspect visuel Allergies, hyperactivité chez les enfants
🥫 Conservateurs Prolonger durée de conservation Troubles digestifs, risque de cancer colorectal
protéine en poudre

Les édulcorants : une fausse bonne idée ?

Utilisation des édulcorants dans les protéines en poudre

Les protéines en poudre, notamment les whey protéines issues du lactosérum, sont devenues des compléments alimentaires incontournables pour les sportifs et les adeptes de la musculation.

Ces poudres de protéines permettent d'obtenir rapidement un apport en acides aminés essentiels, favorisant ainsi la récupération musculaire et le développement de la masse musculaire.

Cependant, pour améliorer le goût et la texture de ces produits, les fabricants ajoutent souvent des édulcorants artificiels tels que l'aspartame, l'acésulfame-K ou le sucralose. Ces additifs permettent de conférer une saveur sucrée aux protéines en poudre sans augmenter leur teneur en glucides et en calories.

Bien que ces édulcorants soient approuvés par les autorités sanitaires et considérés comme sûrs aux doses recommandées, leur utilisation soulève de plus en plus de controverses quant à leur innocuité à long terme.

Des études récentes suggèrent en effet que la consommation régulière d'édulcorants artificiels pourrait avoir des effets indésirables sur la santé.

Voyons les controverses sur l'innocuité des édulcorants artificiels :

Aspartame, acésulfame-K et sucralose : risques de maladies cardiovasculaires

Une étude publiée dans le British Medical Journal en 2023 a révélé une association entre la consommation de certains édulcorants artificiels (aspartame, acésulfame-K et sucralose) et un risque accru de maladies cardiovasculaires.

Les chercheurs ont suivi près de 100 000 adultes français pendant sept ans et ont constaté que des apports plus élevés en ces additifs étaient liés à une incidence plus importante de maladies coronariennes et d'accidents vasculaires cérébraux.

Ces résultats soulèvent des questions quant à l'innocuité de ces édulcorants à long terme et remettent en cause leur utilisation comme alternative saine au sucre. Bien que des études supplémentaires soient nécessaires pour confirmer ces observations, il est important de rester vigilant quant à la consommation excessive de ces additifs.

Perturbation du microbiote intestinal et inflammation

Des études menées sur des modèles animaux et chez l'homme suggèrent que la consommation d'édulcorants artificiels pourrait perturber l'équilibre du microbiote intestinal, entraînant une inflammation chronique et des troubles métaboliques.

Une étude publiée dans la revue Nature en 2015 a montré que deux édulcorants couramment utilisés, le polysorbate 80 et la carboxyméthylcellulose, pouvaient altérer la composition du microbiote intestinal chez des souris, entraînant une inflammation chronique et une augmentation du risque de cancer du côlon.

De même, une étude parue dans le journal Molecules en 2022 a révélé que six édulcorants de synthèse (aspartame, sucralose, saccharine, néotame, advantame et acésulfame potassium) avaient des effets toxiques sur les bactéries intestinales humaines in vitro.

Ces résultats soulignent l'importance de préserver un microbiote intestinal sain et diversifié, et suggèrent que la consommation excessive d'édulcorants artificiels pourrait avoir des effets délétères sur la santé digestive et métabolique.

microbiote intestinal

Effets à long terme méconnus

Malgré leur utilisation répandue depuis plusieurs décennies, les effets à long terme des édulcorants artificiels sur la santé humaine restent encore méconnus. La plupart des études de sécurité ont été réalisées sur des périodes relativement courtes et avec des doses inférieures à celles consommées dans la vie réelle.

Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour évaluer les conséquences d'une exposition chronique à ces additifs, en particulier chez les populations sensibles comme les enfants, les femmes enceintes et les personnes souffrant de troubles métaboliques.

En attendant, il est recommandé de limiter la consommation d'édulcorants artificiels et de privilégier une alimentation équilibrée, riche en aliments naturels et peu transformés. Dans le cas des protéines en poudre, il est préférable de choisir des produits de haute qualité, avec une liste d'ingrédients courte et transparente, et d'éviter ceux contenant de nombreux additifs.

En conclusion, bien que les édulcorants artificiels puissent sembler une alternative pratique et peu calorique au sucre, leur innocuité à long terme est de plus en plus remise en question.

Les risques potentiels de maladies cardiovasculaires, de perturbation du microbiote intestinal et d'inflammation chronique soulèvent des inquiétudes quant à leur utilisation excessive dans les aliments transformés, y compris les protéines en poudre.

Il est essentiel de rester vigilant et de privilégier une alimentation saine et équilibrée, en limitant la consommation de produits ultra-transformés et en choisissant des sources de protéines de qualité, qu'elles soient d'origine animale ou végétale.

La santé et la performance sportive passent avant tout par une nutrition optimale, adaptée aux besoins individuels et basée sur des aliments naturels et peu modifiés.

🏋️‍♂️ Protéines en poudre Compléments alimentaires populaires
🍭 Ajout d'édulcorants Aspartame, acésulfame-K, sucralose
❓ Sécurité contestée Études récentes en question
❤️ Risque cardiovasculaire Maladies coronariennes et AVC
🦠 Microbiote intestinal Perturbation et inflammation
🧫 Études animales Effets toxiques observés
⏳ Effets à long terme Méconnus et peu étudiés
👶 Populations sensibles Enfants, femmes enceintes
🥗 Alimentation naturelle Recommandée sans additifs
💡 Vigilance nécessaire Limiter consommation excessive
🌿 Qualité des protéines Privilégier ingrédients transparents
édulcorants

Les bénéfices d'une protéine en poudre sans additifs ni édulcorants

Meilleure assimilation et digestion

Les protéines en poudre sans additifs ni édulcorants offrent de nombreux avantages, notamment en termes d'assimilation et de digestion. En effet, l'absence de substances artificielles permet de préserver la qualité et l'intégrité des protéines, favorisant ainsi leur absorption par l'organisme.

Les additifs alimentaires, tels que les émulsifiants et les épaississants, peuvent perturber la digestion en modifiant la texture et la consistance des protéines. Ils peuvent également interagir avec les enzymes digestives, ralentissant ainsi le processus de dégradation et d'assimilation des acides aminés.

En optant pour une protéine en poudre sans additifs, on s'assure donc d'une meilleure biodisponibilité des nutriments essentiels à la croissance et à la réparation musculaire.

De plus, certains édulcorants artificiels, comme l'aspartame et le sucralose, ont été associés à des troubles digestifs tels que des ballonnements, des douleurs abdominales et des diarrhées chez les personnes sensibles.

Leur consommation régulière peut également perturber l'équilibre de la flore intestinale, entraînant une inflammation chronique et une altération de la perméabilité intestinale. En choisissant une protéine en poudre sans édulcorants, on limite ces risques et on préserve la santé digestive à long terme.

Profil nutritionnel optimisé

Les protéines en poudre sans additifs ni édulcorants présentent généralement un profil nutritionnel supérieur à celui des produits conventionnels.

En effet, l'absence de substances artificielles permet de concentrer les nutriments essentiels, tels que les acides aminés essentiels et les BCAA, tout en limitant les apports en calories, en sucres et en graisses.

Les additifs alimentaires, bien que non caloriques, peuvent néanmoins influencer la valeur nutritionnelle des protéines en poudre. Par exemple, les émulsifiants comme la lécithine de soja peuvent augmenter la teneur en matières grasses, tandis que les édulcorants peuvent apporter des sucres simples qui peuvent perturber la régulation de la glycémie.

En privilégiant des protéines pures et non modifiées, on optimise donc le rapport protéines/calories et on évite les apports nutritionnels superflus.

De plus, les protéines en poudre sans additifs sont souvent issues de sources de haute qualité, comme les protéines de lactosérum natives ou les isolats de protéines végétales.

Ces formes de protéines sont particulièrement riches en acides aminés essentiels et présentent une digestibilité et une valeur biologique élevées, favorisant ainsi la synthèse protéique musculaire et la récupération après l'effort. En optant pour ces produits premium, on s'assure donc d'un apport optimal en protéines, adapté aux besoins des sportifs et des personnes actives.

protéine en poudre

Transparence et qualité des ingrédients

Enfin, les protéines en poudre sans additifs ni édulcorants offrent une plus grande transparence quant à la qualité et à l'origine des ingrédients utilisés. En effet, l'absence de substances artificielles permet de se concentrer sur la provenance et la traçabilité des matières premières, garantissant ainsi un produit final sain et naturel.

Les fabricants de compléments alimentaires sont de plus en plus nombreux à proposer des protéines en poudre "clean label", c'est-à-dire avec une liste d'ingrédients courte, simple et compréhensible. Cette démarche s'inscrit dans une volonté de répondre aux attentes des consommateurs, de plus en plus soucieux de la qualité et de la transparence des produits qu'ils consomment.

En choisissant une protéine en poudre sans additifs ni édulcorants, on s'assure donc d'un produit au profil "clean" et respectueux de l'environnement.

De plus, certaines marques vont encore plus loin en proposant des protéines en poudre issues de l'agriculture biologique et locale. Ces produits garantissent l'absence de pesticides, d'OGM et d'hormones de croissance, ainsi qu'une traçabilité complète de la ferme à l'assiette. Ils permettent également de soutenir les filières agricoles durables et de réduire l'impact environnemental lié au transport et à la transformation des matières premières.

En optant pour ces protéines bio et locales, on fait donc un choix éthique et responsable, en phase avec ses valeurs et ses convictions.

En conclusion, les protéines en poudre sans additifs ni édulcorants présentent de nombreux avantages pour la santé et la performance. Elles favorisent une meilleure assimilation et digestion des nutriments, optimisent le profil nutritionnel et garantissent la qualité et la transparence des ingrédients utilisés.

🌿 Protéines pures Sans additifs ni édulcorants
🌱 Meilleure digestion Assimilation optimisée
🚫 Moins d'irritation Réduction des troubles digestifs
💧 Flore intestinale Préservation de l'équilibre
🍽️ Biodisponibilité Nutriments mieux absorbés
📉 Moins de calories Apports superflus limités
🥇 Qualité supérieure Sources de haute qualité
⚖️ Rapport optimisé Protéines/calories favorable
🔍 Transparence Ingrédients traçables
🌍 Protéines bio Sans pesticides ni OGM
🌾 Choix éthique Soutien à l'agriculture durable
protéines

Quelle marque de whey et de gainer choisir ?

D'après les informations fournies sur le site de Protéalpes, leurs produits de whey protéine et mass gainer présentent plusieurs avantages qui en font la meilleure option pour les sportifs recherchant des compléments alimentaires de très (très) haute qualité :

  1. Absence d'additifs et d'édulcorants artificiels : leurs whey et gainers ne contiennent ni additifs ni édulcorants. Cela permet d'avoir des produits plus sains et naturels, en évitant les risques associés à la consommation excessive de ces substances que nous avons vu plus haute (troubles digestifs, perturbation du microbiote, effets à long terme méconnus...) .
  2. Matières premières de qualité : Les protéines sont issues d'un isolat de lactosérum provenant de lait de vaches de pâturages alpins. Pour les gainers, la source principale de glucides est la maltodextrine de manioc biologique, qui a un index glycémique plus bas que les maltodextrines classiques. Cela témoigne d'un souci d'utiliser des ingrédients premium.
  3. Profil nutritionnel optimisé : Les whey sont riches en protéines (jusqu'à 90% pour les isolats), en acides aminés essentiels et en BCAA, ce qui favorise la récupération et le développement musculaire. Les gainers ont un ratio glucides/protéines de 3:1 idéal pour la prise de masse.
  4. Fabrication française et traçabilité : Les produits sont fabriqués et conditionnés par Protéalpes à Albertville, ce qui assure une meilleure traçabilité et un contrôle qualité des matières premières et du processus de production. C'est un gage de sérieux et de fiabilité.
  5. Certification "sans substances dopantes" : Protéalpes garantit l'absence de produits dopants dans ses compléments, un critère essentiel pour les sportifs souhaitant éviter tout risque de contrôle positif.
  6. Facilité de préparation et goûts variés : Les poudres se dissolvent facilement dans l'eau ou le lait, sans grumeaux. Elles existent en plusieurs saveurs (vanille, chocolat, caramel, fraise...) pour varier les plaisirs.

En résumé, Protéalpes semble proposer des whey et gainers premium, axés sur la qualité et la naturalité des ingrédients, avec un profil nutritionnel optimisé pour la récupération et la performance des sportifs.

L'absence d'additifs et la fabrication française sont aussi des gages de sérieux et de fiabilité. Cela en fait effectivement une excellente option sur le marché très concurrentiel des compléments protéinés.

🌿 Absence d'additifs Produits plus sains et naturels
🥛 Protéines de qualité Isolat de lactosérum de vaches alpines
🌱 Glucides premium Maltodextrine de manioc bio
⚖️ Profil optimisé Whey riche en protéines, BCAA, gainers 3:1
🇫🇷 Fabrication française Traçabilité et contrôle qualité
🚫 Sans dopants Sécurité pour les sportifs
🥄 Préparation facile Poudres sans grumeaux
🍫 Saveurs variées Vanille, chocolat, caramel, fraise
📈 Performance et récupération Supplémentation efficace
🌍 Respect de l'environnement Ingrédients naturels et authentiques
🍽️ Complément alimentaire Ne remplace pas une alimentation équilibrée

En choisissant ces produits naturels et authentiques, on fait donc le choix d'une supplémentation saine et efficace, respectueuse de son corps et de l'environnement.

Il est cependant important de rappeler que les protéines en poudre ne doivent pas se substituer à une alimentation équilibrée et diversifiée, mais qu'elles peuvent la compléter de manière stratégique en fonction des besoins et des objectifs de chacun.

protéine en poudre

Sources :

  • Jäger, R., Kerksick, C. M., Campbell, B. I., Cribb, P. J., Wells, S. D., Skwiat, T. M., Purpura, M., Ziegenfuss, T. N., Ferrando, A. A., Arent, S. M., Smith-Ryan, A. E., Stout, J. R., Arciero, P. J., Ormsbee, M. J., Taylor, L. W., Wilborn, C. D., Kalman, D. S., Kreider, R. B., Willoughby, D. S., … Antonio, J. (2017). International Society of Sports Nutrition Position Stand: Protein and exercise. Journal of the International Society of Sports Nutrition, 14(1), 20. https://doi.org/10.1186/s12970-017-0177-8
  • Cintineo, H. P., Arent, M. A., Antonio, J., & Arent, S. M. (2018). Effects of Protein Supplementation on Performance and Recovery in Resistance and Endurance Training. Frontiers in Nutrition, 5, 83. https://doi.org/10.3389/fnut.2018.00083
  • Morton, R. W., Murphy, K. T., McKellar, S. R., Schoenfeld, B. J., Henselmans, M., Helms, E., Aragon, A. A., Devries, M. C., Banfield, L., Krieger, J. W., & Phillips, S. M. (2018). A systematic review, meta-analysis and meta-regression of the effect of protein supplementation on resistance training-induced gains in muscle mass and strength in healthy adults. British Journal of Sports Medicine, 52(6), 376-384. https://doi.org/10.1136/bjsports-2017-097608
  • Chattopadhyay, S., Raychaudhuri, U., & Chakraborty, R. (2014). Artificial sweeteners - a review. Journal of Food Science and Technology, 51(4), 611-621. https://doi.org/10.1007/s13197-011-0571-1
  • Sylvetsky, A. C., & Rother, K. I. (2016). Trends in the consumption of low-calorie sweeteners. Physiology & Behavior, 164(Pt B), 446-450. https://doi.org/10.1016/j.physbeh.2016.03.030
  • Toews, I., Lohner, S., Küllenberg de Gaudry, D., Sommer, H., & Meerpohl, J. J. (2019). Association between intake of non-sugar sweeteners and health outcomes: systematic review and meta-analyses of randomised and non-randomised controlled trials and observational studies. BMJ, 364, k4718. https://doi.org/10.1136/bmj.k4718
  • Azad, M. B., Abou-Setta, A. M., Chauhan, B. F., Rabbani, R., Lys, J., Copstein, L., Mann, A., Jeyaraman, M. M., Reid, A. E., Fiander, M., MacKay, D. S., McGavock, J., Wicklow, B., & Zarychanski, R. (2017). Nonnutritive sweeteners and cardiometabolic health: a systematic review and meta-analysis of randomized controlled trials and prospective cohort studies. CMAJ, 189(28), E929-E939. https://doi.org/10.1503/cmaj.161390
  • Swithers, S. E. (2013). Artificial sweeteners produce the counterintuitive effect of inducing metabolic derangements. Trends in Endocrinology and Metabolism, 24(9), 431-441. https://doi.org/10.1016/j.tem.2013.05.005
  • Pepino, M. Y. (2015). Metabolic effects of non-nutritive sweeteners. Physiology & Behavior, 152(Pt B), 450-455. https://doi.org/10.1016/j.physbeh.2015.06.024
  • Fowler, S. P. G. (2016). Low-calorie sweetener use and energy balance: Results from experimental studies in animals, and large-scale prospective studies in humans. Physiology & Behavior, 164(Pt B), 517-523. https://doi.org/10.1016/j.physbeh.2016.04.047
  • Debras, C., Chazelas, E., Srour, B., Druesne-Pecollo, N., Esseddik, Y., Szabo de Edelenyi, F., Agaësse, C., De Sa, A., Lutchia, R., Gigandet, S., Huybrechts, I., Julia, C., Kesse-Guyot, E., Latino-Martel, P., Brasseur, D., Deschasaux-Tanguy, M., Hercberg, S., Galan, P., Allès, B., & Touvier, M. (2023). Artificial sweeteners and risk of cardiovascular diseases: results from the prospective NutriNet-Santé cohort. BMJ, 380, e071204. https://doi.org/10.1136/bmj-2022-071204
  • Malik, V. S., & Hu, F. B. (2022). Cardiovascular Disease Prevention by Diet Modification: JACC Health Promotion Series. Journal of the American College of Cardiology, 79(16), 1616-1630. https://doi.org/10.1016/j.jacc.2022.02.046
  • Chassaing, B., Koren, O., Goodrich, J. K., Poole, A. C., Srinivasan, S., Ley, R. E., & Gewirtz, A. T. (2015). Dietary emulsifiers impact the mouse gut microbiota promoting colitis and metabolic syndrome. Nature, 519(7541), 92-96. https://doi.org/10.1038/nature14232
  • Suez, J., Korem, T., Zeevi, D., Zilberman-Schapira, G., Thaiss, C. A., Maza, O., Israeli, D., Zmora, N., Gilad, S., Weinberger, A., Kuperman, Y., Harmelin, A., Kolodkin-Gal, I., Shapiro, H., Halpern, Z., Segal, E., & Elinav, E. (2014). Artificial sweeteners induce glucose intolerance by altering the gut microbiota. Nature, 514(7521), 181-186. https://doi.org/10.1038/nature13793
  • Ruiz-Ojeda, F. J., Plaza-Díaz, J., Sáez-Lara, M. J., & Gil, A. (2019). Effects of Sweeteners on the Gut Microbiota: A Review of Experimental Studies and Clinical Trials. Advances in Nutrition, 10(suppl_1), S31-S48. https://doi.org/10.1093/advances/nmy037
  • Praveena, S. M., Cheema, M. S., & Guo, H.-R. (2022). Toxicity of Artificial Sweeteners on Gut Microbiome. Molecules, 27(21), 7401. https://doi.org/10.3390/molecules27217401
  • Lohner, S., Toews, I., & Meerpohl, J. J. (2017). Health outcomes of non-nutritive sweeteners: analysis of the research landscape. Nutrition Journal, 16(1), 55. https://doi.org/10.1186/s12937-017-0278-x
  • Lobach, A. R., Roberts, A., & Rowland, I. R. (2019). Assessing the in vivo data on low/no-calorie sweeteners and the gut microbiota. Food and Chemical Toxicology, 124, 385-399. https://doi.org/10.1016/j.fct.2018.12.005
  • Martyn, D., Darch, M., Roberts, A., Lee, H. Y., Yaqiong Tian, T., Kaburagi, N., & Belmar, P. (2018). Low-/No-Calorie Sweeteners: A Review of Global Intakes. Nutrients, 10(3), 357. https://doi.org/10.3390/nu10030357
  • Erickson, J., & Slavin, J. (2015). Total, Added, and Free Sugars: Are Restrictive Guidelines Science-Based or Achievable? Nutrients, 7(4), 2866-2878. https://doi.org/10.3390/nu7042866
  • Chassaing, B., Koren, O., Goodrich, J. K., Poole, A. C., Srinivasan, S., Ley, R. E., & Gewirtz, A. T. (2015). Dietary emulsifiers impact the mouse gut microbiota promoting colitis and metabolic syndrome. Nature, 519(7541), 92-96. https://doi.org/10.1038/nature14232

    Amchova, P., Kotolova, H., & Ruda-Kucerova, J. (2015). Health safety issues of synthetic food colorants. Regulatory Toxicology and Pharmacology, 73(3), 914-922. https://doi.org/10.1016/j.yrtph.2015.09.026

  • Viennois, E., Merlin, D., Gewirtz, A. T., & Chassaing, B. (2017). Dietary Emulsifier-Induced Low-Grade Inflammation Promotes Colon Carcinogenesis. Cancer Research, 77(1), 27-40. https://doi.org/10.1158/0008-5472.CAN-16-1359

  • McCann, D., Barrett, A., Cooper, A., Crumpler, D., Dalen, L., Grimshaw, K., Kitchin, E., Lok, K., Porteous, L., Prince, E., Sonuga-Barke, E., Warner, J. O., & Stevenson, J. (2007). Food additives and hyperactive behaviour in 3-year-old and 8/9-year-old children in the community: a randomised, double-blinded, placebo-controlled trial. The Lancet, 370(9598), 1560-1567. https://doi.org/10.1016/S0140-6736(07)61306-3
  • Zinöcker, M. K., & Lindseth, I. A. (2018). The Western Diet-Microbiome-Host Interaction and Its Role in Metabolic Disease. Nutrients, 10(3), 365. https://doi.org/10.3390/nu10030365
  • Srour, B., Fezeu, L. K., Kesse-Guyot, E., Allès, B., Méjean, C., Andrianasolo, R. M., Chazelas, E., Deschasaux, M., Hercberg, S., Galan, P., Monteiro, C. A., Julia, C., & Touvier, M. (2023). Ultraprocessed Food Consumption and Risk of Cardiovascular Disease: Prospective Cohort Study (NutriNet-Santé). BMJ, 380, e072564. https://doi.org/10.1136/bmj-2022-072564
  • Suez, J., Korem, T., Zeevi, D., Zilberman-Schapira, G., Thaiss, C. A., Maza, O., Israeli, D., Zmora, N., Gilad, S., Weinberger, A., Kuperman, Y., Harmelin, A., Kolodkin-Gal, I., Shapiro, H., Halpern, Z., Segal, E., & Elinav, E. (2014). Artificial sweeteners induce glucose intolerance by altering the gut microbiota. Nature, 514(7521), 181-186. https://doi.org/10.1038/nature13793
  • Ruiz-Ojeda, F. J., Plaza-Díaz, J., Sáez-Lara, M. J., & Gil, A. (2019). Effects of Sweeteners on the Gut Microbiota: A Review of Experimental Studies and Clinical Trials. Advances in Nutrition, 10(suppl_1), S31-S48. https://doi.org/10.1093/advances/nmy037
  • Mortensen, A. (2006). Sweeteners permitted in the European Union: safety aspects. Scandinavian Journal of Food and Nutrition, 50(3), 104-116. https://doi.org/10.1080/17482970600982719
  • Boyle, R. J., Russo, V. C., Andaloro, E., Mehr, S. S., & Tang, M. L. K. (2017). Anaphylaxis to food additives. Current Opinion in Allergy and Clinical Immunology, 17(3), 167-173.